“The first “Delta” track is nearly 16 minutes long, a behemoth in its own right. We do, however, agree with the recommendation to play the album as a whole, and to play it loud. This way the full scope of the wreckage can be observed. Reversing the trajectory of the prior piece, the tempo slows, not quite to sludge, but close, before making a slight recovery, moving portentously through Quach’s orchestral chords. The tempo is restored in “Delta 0000 1001,” the level of excitement raised one last time. Eight minutes now seems like nothing. The difference is the danceability, implying the end of films in which kaiju put aside their differences (i.e. Godzilla, Mothra and Rodan) to fight a common enemy, then celebrate with stomps, flaps and roars. The final flurry of drums suggests the victory of new alliances. It’s unclear where humans stand in all this (if not all buried under rubble), but that’s not important right now. Kaiju forever! Bring on Phase III!” – A Closer Listen, UK (Richard Allen)
“While this record is pretty basic in execution, it’s the larger overall vision that makes it transcendent. The layers of sound interlock in fresh and delightful ways. The quiet poetry of these songs makes them infinitely addictive. These instrumental synth and drum wanderings are not necessarily multi layered prog bangers, but rather triumphant and introspective odes that leave listeners looking deeper, curious to see where we go next. Unpacking these layers and really letting yourself revel in the vision is what makes it all so appealing.” – Two Guys Metal Reviews, US (Matt Bacon)
“An dieser Platte wirkt alles roh und direkt, man scheint den beiden Musikern direkt beim Erfinden ihrer Lieder beizuwohnen. Nur wenige Zentimeter trennen uns von thisquietarmy und Away, Gehörmuscheln und Wände zittern beim Anhören. Dann urplötzlich wieder diese Weite und Stille, „Delta 0000 1000“ liebt die Schwerelosigkeit und lässt Sterne lodern. „The Singularity, Phase II“ ist experimentelle Musik voller Energie, in vier Teilen dargeboten und ungezähmt betörend.” – Artnoir Musik Magazin, Germany (Michael Bohli)
“Alkotó párosunk ezt az érzésfolyamot folytatja napokban megjelent The Singularity, Phase II című anyagán, melyre négy grandiózus hangulatú űrutazáson vehetünk részt, melyben újra elénk tárják a kozmosz folyamatosan változó és pulzáló vibrálásait, lüktetéseit, rezonanciáit.” – Femforgacs, Hongrie (Armand)
“Quelques mois après une première collaboration discographique, intitulée The Singularity, Phase I, le deuxième volet des aventures musicales d’Eric Quach aka Thisquietarmy et Michel Langevin aka Away, éminent batteur de Voïvod, nous arrive. Souvent présentée – à raison – comme étant du « sci-fi drone metal », cette musique procède cependant bien davantage de l’expérimentation et de l’improvisation tous azimuts que les deux musiciens inoculent à haute dose à leurs dérives sonores aussi mystérieuses et envoûtantes que les titres de leurs morceaux aux propensions mathématiques célestes (après la série des « Alpha » et « Beta » du premier disque, Phase II célèbre les « Gamma » et Delta »). Leurs concerts communs, depuis leur première rencontre scénique au Festival Suoni Per El Popolo de Montréal jusqu’à leur date en mai dernier à Victoriaville, s’apparentent ainsi toujours à un véritable jam. et rappelons que leur premier album avait déjà été construit à partir de quatre heures de session improvisée. Habitué aux collaborations – en particulier avec des musiciens comme Dirk Serries, Tom Malmendier, Hellenica ou Aidan Baker de Nadja – Thisquietarmy exprime sans doute ici la vision la plus soyeuse et délicate de ses jeux de textures et de guitares noise traitées par son armada de processeurs et d’effets loop/delay, même si l’ambivalence sonique demeure évidemment de mise et que des morceaux comme « Gamma 0000 0111 » peuvent soudain dévoiler des trésors de lourdeur évanescente. Away lui opte pour un jeu de batterie particulièrement libre oscillant de rythmiques martelées à une démarche progressive qui n’est pas sans rappeler ses accointances naturelles avec Soft Machine. Van der Graaf Generator ou King Crimson. Un style qui constitue le complément parfait, par sa gymnastique souple (écoutez « Delta 0000 1001 », on croirait entendre Christian Vander de Magma), aux circonvolutions lentes et magnétiques de son comparse. Loin d’être figés, les paysages de drones soniques créés par Thisquietarmy se chargent ainsi de ruades dynamiques contrevenant à l’hypnose avant de la renforcer subitement par la soudaine convergence de la batterie et des flux sonores façonnant ainsi une sorte de krautrock/ambient vibratoire le fascinant Delta 0000 1000. Encore plus planant. plus shoegaze dans ses timbres de guitare que son prédécesseur. The Singularity, Phase II semble d’ailleurs encore allonger singulièrement – c’est bien le mot – la temporalité des longues structures musicales qui lient leur croisement de pulsions et de pulsations. Un chassé-croisé qui se révèle dans toutes ses interpénétrations subtiles. ” – New Noise, France (Laurent Catala) 8/10
“All in all the get-together of these two artists successfully creates a very unique take on the drome/ambient/noise genre. The whole double album has a fantastic feel, flow and dramaturgy. There’s nothing I don’t like about this. Great stuff!” Stephan Ohlsen, derohlsen, Germany